Mesures sociales sous la rupture : La vision Talon démontre sa pertinence

Angelo DOSSOUMOU 21 juillet 2017

Ne jamais mettre la charrue avant les bœufs. A ce piège, malgré les critiques les plus acerbes sur le manque de mesures sociales à l’ère de la Rupture, le président Patrice Talon ne s’est pas laissé prendre. Nullement, il n’a été ébranlé par les tombereaux d’injures et les appels au meurtre de ses pourfendeurs pour le manque de mesures sociales sous sa gouvernance. Mais, en dépit de tout, et pour la bonne cause, le gouvernement a tenu bon et enfin, avec la relance des mesures sociales, il remporte, et de fort belle manière, l’épreuve de force.
En effet, lentement mais sûrement, le gouvernement est en train de sortir de leur condition d’humiliés et des offensés de la société, les couches les plus défavorisées. Ainsi, coup sur coup, après la relance des microcrédits, il y a à peine quelques semaines, c’est au tour des écoliers, à travers une cagnotte de 27,2 milliards à injecter en 4 ans pour la relance des cantines scolaires, de bénéficier du regard bienveillant du gouvernement Talon. Sans tapage donc, et contre la haine de ses détracteurs, le chef de l’Etat apporte la meilleure des réponses, par des actions salutaires. Ceux qui dénonçaient un libéralisme sauvage et taxaient le régime de ne penser qu’à faire des économies en ont désormais pour leur grade. Et, au vu des dernières actions du gouvernement, ils doivent reconnaître, à la vérité, la pertinence des choix de Talon.
Evidemment, les braillards et les faux penseurs qui croyaient, à eux seuls, détenir la clé de notre destin commun doivent aujourd’hui reconnaître que le temps pris, avant que le pouvoir ne s’investisse à fond dans le social, a été mis à profit. D’abord, fallait-il ce précieux temps à l’actuel régime, pour remettre les choses en ordre.
Déjà, et le gouvernement y a mis un point d’honneur, le ratio dépenses publiques et Pib devrait être ramené à une proportion acceptable. Ceci est fait. De mesures fortes, le gouvernement a dû user pour rééquilibrer la balance déficitaire. Pourchassé par la police de la pensée positive et de la raison, Talon a pris son temps pour nettoyer l’écurie d’Augias et mettre fin au laxisme budgétaire. A présent, la vallée des larmes qui coulaient abondamment au pays est en train de se dessécher. L’ordre est revenu. Le social renaît, et Talon peut, fier d’avoir tenu bon pour la bonne cause, se positionner enfin, comme le chantre de la redistribution de la richesse nationale. A chaque chose, son temps et comme Talon, seuls les visionnaires ne se décident pas au gré du vent.



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