Au cours de l’installation de leur section départementale : Le Synattrap-Bénin sensibilise les usagers de la route sur le Ravip

La rédaction 12 décembre 2017

Le Syndicat national des travailleurs du transport des passagers du Bénin (Synattrap-Bénin) ne compte pas être du reste dans la mobilisation des populations pour le Recensement administratif à vocation d’identification des personnes (Ravip). En procédant hier à l’installation officielle de son Bureau départemental Atlantique-Littoral, le Synattrap a sensibilisé les usagers de la route sur l’importance de cette opération. Tout a commencé à la gare routière du carrefour Itta, après la cérémonie des couleurs, suivie de l’installation des membres du bureau départemental. C’est après cette cérémonie que le Synattrap-Bénin a jugé utile de convaincre les usagers de la voie à accomplir leur devoir citoyen, notamment se faire enrôler. « Le Ravip est un outil de développement, une nécessité citoyenne, une obligation. C’est la carte qui simplifie la vie », ont-ils laissé entendre. Cette campagne de sensibilisation pour le Ravip a connu la participation du représentant du préfet du Littoral qui a tenu à rassurer que le Ravip n’est pas mis en œuvre à des fins électoralistes. C’est un bon signal pour les membres du bureau départemental que le syndicat doit contribuer au développement de sa nation. Faut-il le souligner, cette cérémonie d’installation a été placée sous l’égide du Secrétaire Général du Synattrap Miriaque Dakpo. Le Secrétaire général Atlantique-Littoral chez les hommes a pour nom Cakpo Roger Mahutin. Du côté des femmes, la responsable s’appelle Clarisse Dandohounto. Le Sg Miriaque Dakpo a profité de l’occasion pour inviter les membres du Synattrap-Bénin à œuvrer pour le développement du secteur. Il sera soutenu par le Secrétaire Général de la Confédération syndicale des travailleurs du Bénin (Cstb) Naimi Kassa Mampo qui appelle à la vigilance. Quant au secrétaire général du Cosycotrab, Noël Guedessi, il dit disposé à soutenir le Synattrap-Bénin dans ses initiatives.
Richard AKOTCHAYE



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