Mobilité des étudiants dans la sous région ouest africaine : Le groupe Cerco et l’Inphb en partenariat pour le bonheur des apprenants

Isac A. YAÏ 11 mars 2014

 !cette vue de famille a immortalisé le partenariat entre le groupe Cerco et l’INPHB

Faciliter la mobilité des étudiants dans la sous région ouest africaine. Tel est le but du partenariat qui lie désormais le groupe Cerco à l’Institut national polytechnique Houphouët Boigny (Inphb) de la Côte d’Ivoire. Une délégation de l’Inphb conduite par son Directeur général adjoint Moustapha Sangaré et le Président Directeur général du groupe Cerco, Docteur Alain Capo-Chichi étaient face à la presse hier pour expliquer à l’opinion publique les avantages de ce partenariat. Pour Alain Capo-Chichi, ce partenariat offre une grande opportunité aux étudiants béninois qui désirent aller étudier dans ce prestigieux institut car, ils auront tout sur place : le logement, la restauration, les bibliothèques pour des recherches scientifiques… « En créant cet institut en 1996 par la fusion de plusieurs grandes écoles, feu Président Houphouët Boigny avait pour ambition d’y accueillir tous les étudiants africains. Actuellement, les étudiants de cet institut proviennent de 14 pays africains », a expliqué Moustapha Sangaré. A l’en croire, l’objectif de leur présence à Cotonou est de découvrir le groupe Cerco qui se déploie actuellement dans le monde entier et de faire découvrir l’Inphb aux étudiants béninois. Pour lui, le Groupe Cerco ne lui est pas étranger car, il a participé à améliorer la bonne gouvernance de l’enseignement supérieur ivoirien et à moderniser le système de gestion de la scolarité. Ce nouveau partenariat vise à faire du groupe Cerco, l’interface de l’Inphb avec les étudiants béninois. Il sera donc la passerelle qui liera désormais ces derniers à cet institut ivoirien à caractère sous-régional. Il est revenu à Fiacre Bosson, Directeur de l’orientation et des examens (Dorex) de la Côte d’ivoire de préciser les conditions d’accès à ce vaste institut qui s’étend sur 1.000 ha à Yamousoukro. A l’en croire, ce sont les meilleurs élèves qui sont sélectionnés à deux niveaux : le niveau Bac où le concours se fait sur étude du dossier et le niveau ingénierie où les postulants composent dans plusieurs épreuves. A en croire Priscille Apiah, chargé de communication de cet institut, les concours se font deux semaines après la proclamation des résultats du Bac. Les étudiants béninois y sont alors attendus pour la rentrée prochaine. Ils peuvent se rapprocher du groupe Cerco pour tous renseignements utiles.



Dans la même rubrique