Supposer non enregistrement de son institut : Alain Capo-Chichi rassurent les parents d’étudiants

Isac A. YAÏ 17 août 2016

« L’institut Cerco est autorisé à exercer au Bénin. Il ne sera donc pas fermé. Les parents d’étudiants n’ont donc rien à craindre. Ils peuvent donc être rassurés. De plus plusieurs de nos diplômes sont cosignés par l’Etat béninois… ». Ainsi s’est exprimé Alain Capo-Chichi, président Directeur général du groupe Cerco lors de la conférence de presse qu’il a animée hier dans les locaux de son institut. A l’en croire, tout ce qui s’écrit sur les réseaux sociaux contre sa personne et l’institut Cerco est simplement de la calomnie et de la méchanceté. « Cerco ne se reproche rien. Il y a 17 ans que nous existons et nous sommes régulièrement enregistrés. Nous pouvons dons rassurer les parents qu’il n’y a pas de péril à la demeure », a-t-il ajouté. Selon ses propos, les auteurs de ces écrits malencontreux sont déjà traduits en justice pour répondre des faits qui leur sont reprochés. « Ils ont fait du faux et usage du faux et nous espérons que justice sera faite », ajoute-t-il. Pour Alain Capo-Chichi, Cerco est un groupe sérieux raison pour laquelle, il existe en Côte d’Ivoire, au Burkina-Faso, en France et tout récemment en Chine. Beaucoup de choses s’y font pour rehausser l’image de l’Afrique dans plusieurs domaines. « Au lieu de chercher à détruire les jeunes entrepreneurs, il faut plutôt les aider à mieux faire car, ils créent des emplois durables et apportent de la valeur ajoutée à l’économie nationale. Il faut qu’on cherche à nous aider au lieu de détruire celui qui est en train de réussir », a-t-il conclu.



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