Fin de l’atelier de renforcement de capacités : Les participants satisfaits de cette initiative du projet Redisse

Isac A. YAÏ 8 février 2024

Stop et fin. L’atelier initié par le projet Redisse pour renforcer les capacités des professionnels des médias est désormais conjugué au passé. Il a été officiellement clôturé le mercredi 7 février après deux jours d’activités au palais des congrès de Cotonou. « Durant les deux jours, nous avons eu des communications sur la santé animale, humaine et environnementale. Ces différentes communications nous ont permis de mieux comprendre les rapports entre l’environnement et la santé. Nous avons aussi eu la chance de visiter l’incinérateur au Cnhu, sans oublier le processus d’incinération des déchets biomédicaux. Nous avons aussi été à la direction nationale de la vaccination et de la logistique. Toutes ces descentes nous ont beaucoup édifiés et nous ont permis de savoir que beaucoup de choses se font dans l’ombre pour garantir la santé à tous les Béninois. Nous pouvons désormais faire de bonnes productions sur la santé humaine, animale et environnementale », a fait savoir la porte-parole des participants.
Au total, 6 communications ont été données par des spécialistes durant les deux jours de formation qui a réuni des professionnels des médias venus de tous les départements du Bénin. « A travers ces communications, nous avons compris que le Bénin, grâce au projet Redisse, a évolué sur le plan de la gestion des urgences en santé publique… », a précisé Firmin Gbèkan, vice-président de l’Odem.
A en croire Fidélia Hinson, coordonnatrice du projet Redisse, cet atelier a été initié afin de permettre aux professionnels des médias d’avoir une vue holistique et de comprendre tout ce qui se fait dans le renforcement des systèmes de santé. « C’est bien que vous ayez touché du doigt ce qui se faire dans la gestion des urgences au Bénin. Au prochain atelier, nous allons compléter une communication sur la cartographie des risques sanitaires au Bénin. Cela permettra d’avoir le vrai visage des risques sanitaires auxquels notre pays pourrait éventuellement faire face », a-t-elle conclu.



Dans la même rubrique